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Projet de développement communautaire rural et mobilisation des eaux (PRODERMO): Un projet pour la résilience du monde rural

L’Unité de gestion des projets du ministère de l’Agriculture a organisé hier sous l’égide du secrétaire général du MAEPE-RH, M. Idriss Abdou Ali, un atelier de présentation du rapport 2013 et du plan de travail et budget annuel 2014 du projet de développement rural et mobilisation des eaux (PRODERMO). Outre le secrétaire général du ministère de l’Agriculture et le responsable de l’UGP, le directeur de la Dette du ministère du Budget, M. Almis Abdillahi et M. Hassan Ali, du PNUD, ont participé à l’ouverture de ces travaux.

Le projet de développement communautaire rural et mobilisation des eaux (PRODERMO), tout comme le programme de mobilisation des eaux de surface et gestion durable des terres (PROMES-GDT), découle des grandes idées contenues dans l’initiative nationale de développement social (INDS), une sorte de livre blanc dans lequel le chef de l’Etat a fixé ses priorités pour mettre un terme à la lente détérioration des conditions de vie des Djiboutiens du monde rural.

Le PRODERMO, qui est venu en complément du PROMES-GDT, est mis en œuvre dans trois régions (Dikhil, Obock et Tadjourah) et vise à permettre aux communautés d’avoir un meilleur accès à l’eau et à renforcer leur capacité de gestion des ressources hydrauliques et agropastorales à travers une approche participative.

Hier au Tamarin, l’unité de gestion des projets du ministère de l’Agriculture organisait un atelier de présentation du rapport annuel 2013 et du plan de travail et budget annuel 2014 de ce projet.

L’atelier a été présidé par le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, M. Idriss Abdou Ali qui a insisté dans son propos sur l’approche participative de ce projet qui, a-t-il dit, permet aux bénéficiaires de se former à la gestion de l’eau, à l’entretien des ouvrages et à la production agricole ainsi qu’à la pêche car ce projet, contrairement au PROMES, comprend un volet pêche.

Hier au Tamarin, les représentants des communautés bénéficiaires ainsi que les représentants des bailleurs, ont pris note du bilan de l’année écoulée : le nombre de puits agricoles, de citernes et autres ouvrages réalisés, etc. Différents acteurs du projet ont pris la parole pour expliquer tel ou tel aspect du projet.

Ce fut un long exposé de chiffres et de mots pour dire combien ce projet, tout comme le PROMES-GDT, est une œuvre qui vise à changer durablement la vie du monde rural.

Après le bilan, ce fut le temps des prévisions. Les participants ont suivi avec intérêt la présentation des activités prévues pour l’année en cours.

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